[Aernil Irnvis] Récit d'un voyage : De la Forêt des Ondines à la cité de Furentez ( Forêt des Ondines ) [Terminé]

Citation :

« [...] Il se rendit à Furentez on ne sais de quelle manière [...] »

- Miran Älliof , " Les Âmes du vent et de la terre déchue ", écrit en 349 à Velss en Kamn-Erta

Avant de devenir déchu, Aernil résidait en Kamn-Erta, région reculée de la forêt des Ondines. Pour appartenir à l'alliance déchu, il a dû se rendre à Furentez , capitale déchu, où il jura allégeance au Créateur. Voici l'histoire de son périple.

Attention : Ce sont des évènements passés. Si jamais vous participez a ce RP ( sous ma demande, et si vous le voulez ), merci d'en prendre compte et de ne pas agir comme si l'action se passai en 350 ( selon le calendrier Azalyan ) mais bien en début de Cendraire 347 ( pour la fôret des Ondines ). Ceci étant, pour les admins et sous admins ( Actuellement Ryuuku et Le Créateur), merci de ne prendre en compte que l'expérience.
Royaume Xunlai :
II ] Passage par les Plaines Verdoyantes
III ] Contournement de la Vallée de Kenthara
IV ] Sortie du continent Xunlai : Le marché noir

Royaume Déchu :
V ] Entrée chez les déchus : Le littoral des Ecueuils
VI ] Passage à coté de la tour des âmes perdues
VII ] Le lac putréfié
VIII ] L'immensité du Désert d'andorak
IX ] Les ténèbres Déchu : La Forêt Ténèbreuse
X ] Furentez, capitale déchu
- 1) Franchir le Pont
- 2) La Muraille



I] A travers la forêt

Il était partit, s'en allant parmis l'immensité verte de la Forêt des Ondines. Il avait l'habitude auparavant de venir séjourner dans ces contrées, pour assister les créatures animalières qui y rodaient, mais on pouvait lire clairement dans son regard qu'il n'avait nullement l'attention de rebrousser chemin. Il ne reviendrait pas.
Parmis les traits de caractères de son visage, on pouvait également voir qu'il ne faisait pas cela entièrement par envie, mais parce qu'il le fallait. Sa machoire était retenue par des dents qui s'appuyaient, celles du dessus par celles du dessous. Dans son imagination, il se vit se retourner pour contempler une dernière fois Amëhl, le village où il était né, où il avait grandit, où il avait vécu jusqu'alors toute son existence. Mais il ne le fit, il ne pouvait se retourner. Il ne fallait pas qu'il se retourne. Il relâcha ses bras, ferma les yeux et concentra son esprit puis d'un seul coup, les forces du vent l'avaient poussées vers l'avant. Courant sous l'attention de Zéphyr, il s'en alla loin de chez lui.

Kamn-Erta était maintenant loin derrière. Il vit les nombreux arbres de la forêt défiler à toute allure devant ses yeux. Soudain une des nombreuses rivières qui devait sûrement dériver du Fleuve Indomptable apparaissait sur sa droite. Elle ruissela paisiblement. Naturellement, comme aucune verdure ne poussait dans l'eau, il put enfin contempler de nouveau le ciel bleu accompagné de quelques rares nuages, auxquels venait s'ajouter un soleil qui brillait jusqu'aux éclats comme toujours aux Ondines ( Abréviation donnée parfois à la forêt ). Le reste des alentours n'étaient toujours que verdures, avec des arbres de plusieurs dizaines de mètres de haut qui cachaient toute vue sur le ciel. Les rayons du soleil étant moins étouffés, l'air devint moins humide. Jusque là Aernil n'avait fait aucune rencontre or mis les quelques oiseaux qui passaient par ci par là. Il se mit alors à ralentir sa course. Il n'était pas fatigué bien heureusement, mais préférai s'arrêter un moment pour contenir ses forces et faire deux ou trois choses indispensables car il savait qu'un long voyage l'attendrait. L'autre côté de la rivière paraissait plus apte à une halte, les arbres et autres buissons s'y faisaient plus rare. Il vit au loin sur l'autre rive une zone d'herbage presque parfaite. Un rocher d'environ un mètre au dessus du sol se trouvait en face sur la rive où se trouvait Aernil. Le fleuve était large d'au moins six mètres, ceci étant, il était inutile de songer traverser sans aide de quelque sorte que se soit. Mais grâce au vent qui le soufflait vers l'avant, le demi-elfe n'eut que peu de mal à franchir l'obstacle. En se jetant du rocher, il atteint l'autre rive d'un saut impressionnant, même si celui ci était quelque peu juste pour franchir la rivière, manquant de peu de tomber à l'eau. Il resta ensuite debout un moment, comme si quelque chose lui trottait dans la tête. Il avait tantôt un air pensif, tantôt un air déterminé. Il s'encapuchonna, se mis à genoux au bord de l'eau et grâce à ses mains jointes puis ouvertes, se rinça la figure et but une dizaine de gorgée d'eau assez fraîche. A droite sous sa cape au niveau de sa ceinture, il sortit ensuite une gourde de cuir à moitié vide qui pouvait contenir à peu près un litre d'un liquide quel qu'il soit. Il rempli celle si au maximum puis se releva, et se rinça la bouche avec son poignet gauche. Il songea à ne pas s'attarder ici très longtemps, car il connaissait bien la forêt et savait se qu'il s'y cachait... Comme des Dragonnets qui rodaient quelquefois dans les environs, de petites créatures qui s'attardent sur les formations rocheuses. Il savait qu'il pouvait également rencontrer des Aquilons mais il ne s'en faisait pas, en dix-sept ans il n'en avait jamais rencontré par ici.

Il réfléchissait maintenant car il s'enfuyait mais il ne savait pas quoi faire, par où aller... Mais pendant qu'il réfléchissait il ne trouvait qu'une issue : Le Nord. A l'Ouest il suivrait une route qui mènera surement vers Zélia la capitale Xunlai, par les Champs de l'Euphorie. Il n'y était jamais allé et voulait partir à l'aventure mais ne voulait pas aller dans une capitale infestée de Xunlai, mais surtout de créatures ayant la faculté de penser. Il ne voulait pas rencontrer de monde, ce serait insalubre pour lui pour le moment. A l'Est il rencontrera d'autres nombreux petits villages Xunlai... Il prit son courage à deux mains pour continuer, mais il savait très bien que dans ce monde il n'avait que très peu de chances de survivre seul. Non. Il n'avait aucune chance de survivre seul. Peu importe où il ira, la route sera longue et périlleuse. Mais Aernil n'avait pas peur de mourir, et de toute manière il ne pouvait qu'avancer. Il savait qu'il fallait qu'il trouve au plus vite un endroit où il puisse se reposer à la sortie de la forêt, même s'il ne voulait pas rencontrer de personnes il n'avait pas le choix... C'était cela ou prendre de gros risques de mourir, car il y avait de fortes chances pour qu'ils se fasse tuer durant son sommeil. Les créatures n'y sont pas toutes sans cervelles, et certaines sont rusées et silencieuses. Il ne s'attarda finalement pas sur ce coin d'herbe très longtemps et continua sa route. Connaissant la forêt, il devrait atteindre sa sortie Nord d'ici le lendemain matin. Un homme normal sans pouvoir magique et sans aucune connaissance des lieux aurait cependant mis au minimum une semaine, mais Aernil lui pouvait également se déplacer deux fois plus vite grâce a son aptitude à manipuler les forces de l'air, et son côté Elfique qui en faisait un être assez léger. Arbre après arbre, il progressa. Il put encore voir le ciel, mais n'aperçut plus soleil. Le crépuscule allait bientôt arriver. Cela devait faire maintenant près de deux heures qu'il courait. Deux heures et quart. Deux heures et demi. Trois heures. Le temps défilait extrêmement vite. Les arbres devenaient de plus en plus sombres. La rivière disparut petit à petit sur la gauche, après qu'il eu aperçut au loin deux ou trois dragonnets sur la rive d'en face, ceux ci n'ayant pas sentit sa présence. Il faisait encore plus froid et humide qu'avant. La vitesse à laquelle il courrait ne lui épargnait pas les frottements de l'air contre son visage, le glaçant petit à petit. Il pourrait remédier a sa, mais cela lui demanderait trop d'énergie, il se déplacerait dans de meilleurs conditions mais beaucoup moins longtemps. Il préféra rester trois fois plus longtemps à courir deux fois plus vite dans de mauvaises conditions que trois fois moins longtemps à courir deux fois plus vite dans de bonnes conditions. Il n'aperçut plus le ciel. Il y avait par là un village dont il avait oublié le nom mais ne songea pas y rester. De plus, il s'agissait d'un peuple Xunlai actuellement en froid avec les Elfes d'Amëhl. Aernil devait à tout prix atteindre la sortie de la forêt sans y sommeiller...

II] Rencontres

La nuit était tombée, et Aernil n'avait pas l'habitude de voir la Forêt des Ondines de cette manière, trop calme, sans bruit, sans chant des oiseaux et complètement inéclairée. De plus, cette nuit était une nuit sans lune, refusant toute lumière sur les Ondines. Pour lui la forêt était d'une beauté sans égal, dont les rayons du soleil l'illuminai de part et d'autre, et les rivières surplombées par un ciel d'un bleu éclatant... Quelle magnificence. Autrement il se posait aux zones plus herbacées, mais où il se trouvait il n'y en avait presque pas, lui laissant actuellement une vue sur le ciel étoilé tout les deux ou trois cents mètres environs, le ciel étant dégagé des arbres par dessus. La forêt paraissait vide de toute vie.

Il remarqua qu'avant de partir dans la précipitation, il avait mal serré sa ceinture et la sangle de son carquois de flèche. Cette première commençait à glisser. S'arrêtant pour l'ajuster correctement, il vérifia aussi son fourreau lequel contenait une épée semi-longue bien aiguisée. Il en profita pour redresser son arc, recourbé et entièrement construit en bois d'Ëntiate, un bois rare mais abondant aux Ondines comparés au reste d'Azalya. Son carquois contenait une douzaine de flèches de la même consistance dont il préféra ne pas avoir à se servir. Au pire s'il devait chasser, il les récupérerait.

***

Il reprit la route mais s'arrêta aussitôt.

Il lui semblait avoir entendu dans un bruit presque sourd une voix glauque, vieille, et très grave. Il se retourna, scrutant attentivement les alentours puis sortit son unique arme de mêlée et se mis en garde. Il n'était pas paniqué et n'avait pas vraiment peur, mais c'était une réaction tout à fait notable. Il ne voyait toujours que de nombreux arbres dont le vent au sommet soufflait sur les branches feuillues. Il était prêt à reprendre la route quand il entendit une nouvelle fois cette voix, se retournant face à l'arbre à sa gauche. Il venait de comprendre, c'était ce même arbre qui lui avait adressé la parole. Aernil savait quelque peu parler le sylvestre, la langue de la nature, comme tout les Elfes ayant grandit à Kamn-Erta. Peu mais bien. On ne peut écrire le sylvestre avec l'alphabet de la langue universelle Azalyenne, et sans qu'une partie de nous soit née avec, on ne peut comprendre l'écriture sylvin ( en principe l'écriture ne fait pas partie de cette langue, mais les créatures intelligentes qui savent magner la plume ont sur créer un alphabet pour la langue ).
La traduction en Azalyen de la conversation donnerait ceci :

"Elfe ?"

"Oui, Ent ?"

Aernil avait l'habitude qu'on l'appel "Elfe" même s'il n'en était un qu'à moitié, mais physiquement, n'importe qui le considérerait comme un Elfe. De toute manière il préfère qu'on le considère comme un Elfe plutôt qu'un homme. Les arbres pouvant chuchoter ou se déplacer sont quand à eux appelés des Ents.

" Dit-moi, que fait tu seul dans ces contrées à une heure si tardive ? Seul qui plus est. "

" Maître Ent, je me permet de vous répondre que cela ne vous regarde, que vos attentions soient bonnes ou mauvaises "

" Hum... Je n'avait nullement l'intention de vous offenser "

Le Demi-Elfe s'en alla.

" J'aimerai juste vous prévenir... Il me semble avoir vu rôder des servants du créateur dans les environs ces derniers temps "

Que ces dires soient mensonges ou vérités, Aernil garda une trace de ces paroles enfouit dans sa mémoire et continua sa route. Incensamment sous peu il regarda vers la droite où un bruit l'avait surpris. Surgit soudain un loup gris affamé qui lui sauta dessus, le flanquant à terre et faisait tomber son épée. La bête se tenait sur le demi-elfe, gueule grande ouverte, prêt à lui mordre la face. Aernil lui laissa son brassard droit à grignoter et donna un banal coup de poing gauche en pleine gueule. Il se releva presque en même temps que son adversaire, ce dernier d'une robustesse impressionnante. N'ayant guère le temps de sortir son arc, il tenta de reprendre son épée en esquivant une charge du loup : ce fit un succès. Il la ramassa d'un geste vif et attaqua la bête pour la reculer. Aernil ne pouvait pas utiliser de magie pour ce combat, préférant garder ses forces car sinon il ne sortira surement pas de la forêt avant l'aube. De plus Aernil devait se dépêcher de fuir, il savait que les loups ne chassaient pas seuls... Il entendit déjà les aboiements de ses congénères. Le demi-elfe savait qu'il ne devait en aucun cas quitter son adversaire des yeux, auquel cas il lui sauterait immédiatement dessus ou lui attaquerait un membre. Il connaissait très bien la façon de faire des loups pour avoir vécu proche d'un d'entre eux pendant plusieurs années. L'ennemi grognait. Il ne tenterait rien dans ces conditions mais cependant Aernil, lui, devait faire quelque chose. Il ne pouvait pas se retourner ni s'enfuir, il devait attaquer avant que les autre n'arrivent. C'est se qu'il fit, et la bête recula après deux trois coups d'épées. Mais sa ne suffisait pas à Aernil pour s'enfuir. La fatigue commençait à le gagner, et même avec courage il ne pouvait s'empêcher d'avoir un manque de concentration à un moment ou à un autre. Le loup gratta le sol, et Aernil fixa sa patte : il venait de commettre une faute. La bête lui sauta à nouveau dessus, et Aernil n'eut pas le temps de pointer son épée sur lui. Pendant sa chute, trois flèches étaient tombées de son carquois. Le demi-Elfe mis ses mains sur la mâchoire du loup de façon à arrêter sa tentative de morsure, puis en instant il prit une de ses flèches qui trainait sur le côté et l'enfonça de toute ses forces dans sa patte droite, poussant un cri de rage. La bête était coincée, et s'occupait maintenant plus de sa patte que de sa proie. Aernil en profita pour filer, ramassant ses deux autres flèches sur le passage, et fonça vers le Nord à nouveau à la vitesse du vent.

Durant ce combat, il n'avait pas saigné et de ce fait, les loups auraient du mal à retrouver sa trace. Le demi-elfe les avait maintenant semés. Il était épuisé, terriblement à bout de force... Mais lui revint à l'esprit les chances de mourir qu'il avait s'il restait cloitré là. La peur devint alors un de ces moteurs. Il reprit la route comme s'il était en pleine forme, mais terriblement souffrant. Un guerrier entraîné aurait résisté très bien au bout de seulement quelques heures dans cette pénombre, mais pour Aernil c'était la première fois qu'il fit une telle chose... Traverser la Forêt des Ondines de la frontière Sud au Nord en une seule nuit, cela paraîtrai stupide pour beaucoup. A part la survoler... Mais il ne pensait pas au fait que cela puisse être stupide, auquel cas il pourrait manquer de courage. Il s'efforça donc de penser le moins possible.

* Vas-y Aernil, tout de toi en dépend. Tu y arriveras * se dit-il

III] La fin du parcours

Un doute à l'esprit lui venait tout à coup. Après le combat, il n'était pas sur de toujours se diriger vers le Nord. Il perdit confiance en lui. Il n'était pas sur d'aller au bon endroit. Pour en être bien sur, il fallait grimper sur un arbre jusqu'au sommet et vérifier les alentours. Il prit son courage à deux mains pour le faire. Il avait l'habitude de grimper sur les arbres, déjà à 4 ans il le faisait. Au bout de quelques minutes il était en haut. Devant lui une longue pente d'arbre qui s'écroulait sur une grande plaine peu visible, c'était surement les Plaines Verdoyantes. C'était cette pente qui l'avait surement toujours empêché de voir l'horizon depuis Kamn-Erta. Il regarda derrière lui, et voyait vaguement la route qu'il avait maintenant faite. Il ne distinguait même plus l'Arbre des esprits, un immense chêne qui sortait d'Amëhl et que l'on peut en principe aperçevoir de loin. Par curiosité il scruta également les alentours : au Nord Ouest Zélia qu'il avait déjà aperçut mais jamais d'aussi prêt : d'ici la capitale ressemblait à un point plus gros qu'avant. Il vit également la Mer Hid'Illyk qui allait de l'Ouest au Nord côté Ouest, entourant la capitale Xunlai. A l'Est il y avait des montagnes, où les Ondines continuaient jusqu'à leur base. Aernil était finalement bel et bien sur le bon chemin...

Il redescendit de l'arbre et s'arrêta pour penser.

* Non je ne doit surtout pas !*

La route reprenait. Il courait et courait encore, s'échappant toute notion du temps de son esprit. Savoir tout se qu'il avait maintenant parcourut et tout se qu'il lui restait lui avait redonné courage. La forêt devenait plus périeuse qu'avant, les arbres n'étaient plus tout raide sans racines qui dépassent mais il y avait maintenant d'avantages de chênes que de bouleaux, des racines de tout les côtés lui manquèrent plusieurs fois de trébucher. Il ne devait plus faire attention qu'à la route au loin maintenant, mais d'avantage où il mettait les pieds. Une créature volante passa devant ses yeux, mais il ne la vit pas car la pénombre était trop intense. Il devait s'agir d'une chauve souris mais Aernil avait de sérieux doute, des doutes qui s'en allèrent de son esprit. Il supprima encore ses pensées. Il avança, avança, avança toujours, cela devint de pire en pire. Il ne sentait plus ses jambes, son visage était glacé. Pire encore : Il avait maintenant un point de côté.

* Je n'en peut plus... NON ! Je doit continuer ! Je doit le faire. Ma fierté et ma vie en dépendent *

Il n'avait plus peur à force d'avoir courut dans la nuit. Mais les forces naturelles qui le tuaient de l'intérieur et de l'extérieur commencèrent à avoir raison de lui. Une lueur d'espoir : L'aube se leva. Il leva les yeux aux ciels, là où les quelques peut rayons du soleil s'échappaient. Des larmes à cause du froid s'en allèrent de ses yeux. Il regarda à nouveau devant lui, vit une forme trouble en face, trébucha, et s'évanouit ...

Un régal à lire, pour ceux qui veulent en profiter un maximum, je vous conseille d'écouter ceci en même temps :

Bloody Tears

Je précise que chaque rp qui le méritera aura son propre thème.

Donc pour la notation :

Longueur : 5/5
Réalisme : 5/5
Orthographe : 5/5
Bonus : 5/5 pour la qualité totale du rp.

Ca te fait un beau 20/20.

Xp Attribuées, fiche modifiée.